Doucement je pars dans un monde onirique
Je laisse mon corps s'engourdir, partir
pour atteindre un monde de songe idyllique
J'idéalise mes rêves, qui ne sont que chimère
Plus souvent fait de guerre sanglante
Que de caresse aimantes, calme, j'éres
Habituée des taches de sang métaphorique
Je pleur mes morts nuit après nuit
Doux contes sardonique, je me meurs
Quand au lever du soleil les yeux cernés je me léve
Admirant les foetus de mes rêves jamais fini
Que je commence une journée automatique, je les oublis
On ne peut vivre dans le monde qu'avec des illusions ;
et dès qu'on a un peu vécu, toutes les illusions s'envolent.
[Voltaire]
Extrait de Correspondance
Commentaires
tes nuit ont elles changés?
l'illusion ...
cest zoli ^^
jaime bcp limage
^^
bibi tador
tu m'emmenes avec toi ? =)